Date de parution : 2014.
Auteur : Taro Nogizaka.
Editeur : Glénat.
Pages : 224.
A la bibliothèque, je suis tombée par hasard sur ce manga destiné à un public adulte. De fait, nous suivons des personnages torturés et un récit plutôt violent avec une pointe d’érotisme de surcroît. Plus précisément, il est question d’une succession de meurtres sanguinolents que veulent résoudre le héros et le lecteur.
Ces événements funestes ont créé une ambiance malsaine qui m’a mise mal à l’aise. On ne sait pas vraiment à quel personnage se fier car ils ont tous manipulateurs, même les policiers de la ville. De nombreux secrets sont enfouis, les faux-semblants sont bel et bien présents et la narration est parfois volontairement floue. Ainsi, le personnage principal est donc aussi déboussolé que le lecteur !
Néanmoins, l’histoire a suscité ma curiosité. On ne cesse de s’interroger sur l’origine de ces corps torturés retrouvés sur une horloge. En effet, vous remarquerez sur la couverture que les aiguilles du cadran sont en fait représentées par un être humain. Et des aiguilles, ça tourne… Aïe ! On se dirait dans un film d’horreur digne de Saw. Quel le mystère de l’horloge de la mort ?
Phebusa
– La série, terminée au Japon, compte 9 tomes au total.
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