Date de parution : mars 2014 (réédition).
Auteure : Veronica Roth.
Editeur : Nathan.
Pages : 464.
Quatrième de couverture :
Le monde de Tris a volé en éclats. La guerre a dressé entre elles les factions qui régissent la société, elle a tué ses parents et fait de ses amis des tueurs.
Tris est rongée par le chagrin et la culpabilité.
Mais elle est Divergente. Plus que tout autre, elle doit choisir son camp et se battre pour sauver ce qui peut encore l’être…
Une lecture mitigée
Cela fait plus de deux semaines que j’ai terminé ce tome 2 mais je ne voyais pas trop quoi en dire car je n’y ai rien trouvé d’époustouflant.
Pour faire simple, je ne retiens pas grand-chose de ce roman qui a sans aucun doute une rythmique tout à fait différente du premier tome.L’histoire se concentre sur
l’approfondissement de nos connaissances sur les factions. On ne pourra donc pas dire que l’auteure n’a pas développé son univers, mais la manière dont elle le fait ne m’a pas touchée. Je suis restée très distante de ce qu’il se passe, ayant l’impression d’être ballotée d’un endroit à un autre (sans entrer plus dans les détails pour ne pas spoiler).Bien que les épisodes cruciaux chez l’une des factions aient attiré mon attention, tout est trop prévisible. Aussi, je regrette que
Quatre ait plus ou moins disparu de ce tome. J’ai d’ailleurs été
déçue de la relation entre Quatre et Tris. Je n’ai pas malheureusement pas retrouvé l’étincelle du premier tome (oui, j’ai quand même un côté romantique qui demande d’être assouvi…).
Mais surtout, j’ai parfois du mal à comprendre Tris. En effet, l’une des actions qu’elle entreprend m’a surprise, même si cela va aussi avec sa personnalité ! Peut-être a-t-elle été, pour le coup, trop divergente pour que je la comprenne ? En tout cas, même si elle a vécu des choses difficiles, c’est dommage qu’elle n’accepte même pas l’aide de ses ami(e)s. On ne va pas aller bien loin comme ça…
Enfin, pour terminer sur une note positive, le dénouement est satisfaisant et donne une toute nouvelle direction à l’intrigue. On voit encore une fois que l’auteure maîtrise son univers et propose de lui donner un sens, celui-ci étant développé dans le troisième et dernier tome.
En bref, c’est un second tome – plus sombre que le premier – qui n’a pas su me faire voyager, sans doute à cause de la tournure des événements et de la distance que j’ai ressentie à propos des personnages. Néanmoins, le dénouement offre une perspective intéressante à l’univers qui est tout de même bien développé.
Phebusa
– Les couvertures VO.
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