Titre : Hazel Wood.
Date de parution : Avril 2018.
Auteur : Melissa Albert.
Editeur : Milan.
Pages : 373.
Hazel Wood, la résidence légendaire d’Althea Proserpine, auteure des célèbres Contes de l’Hinterland.
Hazel Wood, d’où semble s’échapper des personnages inventés par Althea.
Hazel Wood, où sa petite-fille, Alice, va devoir s’aventurer.
Hazel Wood, dont personne ne revient jamais.
Et si Hazel Wood était bien plus qu’un simple manoir ? Un leurre ? Une porte d’entrée sur un autre monde ?
Et si Alice était bien plus qu’une simple New-Yorkaise ? Une princesse ? Une tueuse ?
Il était une fois… Hazel Wood.
Tout d’abord, je remercie les éditions Milan pour cette bonne lecture qui nous fait entrer dans la résidence Hazel Wood, dont la mystérieuse propriétaire n’est autre que la grand-mère de l’héroïne. Ce lieu est à lui seul un personnage de l’histoire, dont il va falloir comprendre le fonctionnement avant de se lancer dans une aventure aux allures de course-poursuite !
Dans cette histoire, le lecteur découvre une atmosphère bien plus sombre que les versions des contes Disney. De fait, la propriétaire de la maison a écrit les Contes de l’Hinterland qui sont des contes assez sanglants qui regorgent d’êtres obscurs. J’ai adoré ce mélange entre fantasy et horreur, où interviennent la magie et les spectres.
L’ambiance est un point fort de l’histoire, bien plus que ne le sont les personnages qui ne me sont pas vraiment restés en mémoire. J’ai également apprécié les différents contes proposés, qui mêlent enquête, mystère et frissons comme le font les histoires d’Edgar Poe ou de Tim Burton.
Phebusa
Laisser un commentaire