Titre : Hanako, fille du Soleil levant.
Date de parution : 15 juin 2016.
Auteure : Elodie Loch-Beatrix.
Editeur : Milan.
Pages : 256.
Tout d’abord, je remercie Elodie de m’avoir envoyé son roman imprégné de culture japonaise. Même si c’est du jeunesse, j’étais curieuse d’en savoir plus et de plonger dans cette histoire dont l’intrigue tourne autour d’une mystérieuse boîte dont la jeune fille souhaite découvrir le contenu.
Je me suis attachée à Hanako, l’ « enfant fleur », qui rentre en quatrième. On découvre les intérêts d’une adolescente ordinaire : la danse, les amours, les tchats, etc. C’est d’ailleurs à cet âge que la relation entre les parents et l’enfant peut se compliquer. Des tensions se créent autour d’un art floral japonais, l’ikebana, dont Hanako ne souhaite pas entendre parler.
Néanmoins, elle va quand même assister à quelques cours qui nous font découvrir beaucoup de choses et ce grâce à des dialogues simples et accessibles pour les plus jeunes. J’ai aussi apprécié les termes japonais dans le récit tels que kimono, kendo, katana et ceux qui nommaient chaque chapitre : « hasami » pour ciseaux japonais, « kiku » pour fleurs de chrysanthèmes, etc., l’explication de leur étymologie ainsi que les quelques références au monde d’Harry Potter.
Si le début du récit est assez simple et conventionnel avec le cliché de la fille populaire et le tournant du béguin pour un jeune sportif, la seconde partie vaut le détour ! En effet, l’intrigue se complexifie autour des secrets familiaux qui n’ont pas manqué de me surprendre. Je garderai un bon souvenir de cette lecture.
Phebusa
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