Auteurs : Scott Westerfeld & collectif.
Editeur : Hachette Black Moon.
Date de parution : juin 2011.
Pages : 256.
Quatrième de couverture :
Tomber amoureuse d’un fantôme, croire aux contes de fées, accepter l’impensable, se révolter contre un monde tout entier, sombrer dans la folie… Que ne ferait-on pas, par amour ! Les héroïnes de ces nouvelles vont tenter leur chance au jeu de la passion, jeu de hasard et jeu dangereux…
Ce sont des nouvelles qui, en plus d’être plaisantes à lire, sont originales et savent surprendre le lecteur. En effet, ce ne sont pas des nouvelles à l’eau de rose qui se terminent bien. Ca change du cliché romantique.
J’ai été moins frustrée par ce recueil de nouvelles que par Le Maître de Rampling Gate dans lequel je suis restée sur ma faim pour la plupart des nouvelles.
Mes impressions sur deux des cinq nouvelles :
– Un Monde (presque) parfait (Scott Westerfeld) : Nouvelle de science-fiction agréable, mélangeant deux points de vue différents. Elle m’a fait penser à Delirium mais je ne dirai pas pourquoi afin d’éviter les spoilers. Cette nouvelle emmène le lecteur dans un monde futuriste où les humains ne subissent plus les « inconvénients » de la vie humaine : maladies, avoir chaud/froid, hormones, sommeil, etc. Le professeur des cours de fléaux propose à ses élèves de vivre un des fléaux précédemment cités. Expériences enrichissantes à la clef…
– Caprice de fan (Gabrielle Zevin) : Il s’agit d’une nouvelle qui se termine étrangement, ce qui laisse quelques interrogations. Néanmoins, l’intrigue est intéressante : dans une bibliothèque, l’héroïne rencontre un jeune homme mystérieux dont elle tombe amoureuse. Dès le début de la nouvelle, j’ai cherché le rapport avec le titre de cette nouvelle. J’ai eu ma réponse aux dernières lignes de l’histoire, seulement !
Phebusa
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