Auteure : Catherine Kalengula.
Editeur : Hachette Black Moon.
Date de parution : Janvier 2012.
Pages : 256.
Je n’ai pas été convaincue par l’histoire ! L’auteure ne l’a pas poussée assez loin, notamment sur le thème surnaturel.
J’ai lu très peu de livres sur la danse, donc cet ouvrage constituait une bonne occasion. En fin de compte, je m’attendais à autre chose de ce livre : la danse n’est traitée qu’en toile de fond ! J’aurais préféré plus de passages sur la danse. Heureusement, les descriptions des chorégraphies et les sensations de Gisèle lorsqu’elle danse m’ont rappelé l’époque où j’ai dansé moi aussi. C’est cependant la seule fois où j’ai été liée à l’héroïne, qui m’a laissée indifférente le reste du récit.
Dans cette histoire, on découvre les préjugés sur le monde de la danse : le métier de danseuse ne serait pas une profession.
L’héroïne est une jeune femme de dix-neuf ans immergée dans le monde new-yorkais, et elle qualifie bien l’impression que l’on peut avoir lorsqu’on arrive dans une nouvelle ville pleine de promesses. Ce lieu est plutôt bien décrit (Broadway, les coulisses du spectacle, etc.) mais c’est le strict minimum, l’action principale se contentant de rester dans le théâtre. On peut penser au Fantôme de l’opéra.
Ce que l’on attend de découvrir dans ce livre, c’est ce mystérieux voile bleu qui s’enroule autour d’elle sur la couverture du livre… En effet, le thème fantastique est présent, notamment grâce à une atmosphère mystérieuse et magique. Le lecteur se pose beaucoup de questions. Cependant, l’histoire amoureuse qu’elle va vivre est jouée d’avance… Le dénouement ne m’a pas particulièrement touchée, je me suis même dépêchée de finir ce livre pour passer à autre chose.
C’est donc avec un avis mitigé que je termine ma lecture : certains passages m’ont charmée, d’autres m’ont ennuyée.
Citation :
« New York, la ville où tous les rêves sont permis… mais pas promis. »
Phebusa
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