Auteure : Elizabeth Chandler.
Editeur : Hachette Black Moon.
Date de parution : mars 2011.
Pages : 240.
Quatrième de couverture :
Pendant 16 ans, Megan n’a pas eu de nouvelles de sa grand-mère. Et voilà que celle-ci l’invite dans son manoir, sans pour autant l’accueillir avec chaleur. Megan y rencontre son cousin Matt, tout aussi froid, qui l’attire étrangement. Elle découvre un petit cimetière familial où gît une certaine Avril, morte à l’âge de 16 ans. A force d’événements étranges et de recherches, Megan comprend qu’Avril est morte – assassinée ? – pour l’amour d’un homme, et que l’histoire pourrait bien se répéter…
Ce livre est un grand coup de coeur, notamment car il incarne un de mes thèmes fantastiques favoris (que je vous laisse découvrir, je ne voudrai pas vous gâcher le plaisir !).
Les personnages sont bien construits et intéressants, la lecture est très fluide… J’ai dévoré ce livre en une journée ! Je crois que c’est arrivé très rarement d’ailleurs. Nous découvrons une grand-mère, distante de sa petite-fille, qui lit souvent sa Bible. Puis, un jeune homme, Matt, qui ne cesse de répéter à l’héroïne qu’elle n’aurait jamais du venir passer deux semaines chez sa grand-mère. Mais pourquoi ? Là réside tout le mystère. Celui-ci a sûrement un rapport avec la rumeur d’un fantôme de jeune fille assassinée. Qui est-ce ? Que s’est-il passé avant dans cette maison située à Wisteria ? Pourquoi dit-on qu’elle est hantée ?
Voici quelques citations favorites :
« À bien y réfléchir, la signification du rêve que j’ai fait la nuit dernière devient évidente, tout autant que le sentiment de malaise que j’ai ressenti alors. La porte de la famille de ma mère m’est fermée depuis toujours ; quand un accès ainsi interdit pendant seize ans s’ouvre brusquement, sans explication, on ne peut s’empêcher de se demander ce qui se cache derrière. »
« Les rayons du soleil couchant flamboient contre les vitres ; je remarque néanmoins qu’une silhouette s’écarte d’une fenêtre au premier étage, comme pour éviter que je ne la voie. Au bout d’un moment, je comprends que la personne m’observait depuis ma chambre. »
« Tout le monde fait des cauchemars », me dis-je. Quant à ma présence dans une autre pièce, il n’y a qu’une explication : je suis somnambule. «
« Parfois, la vie est plus compliquée que les simples règles qu’on veut appliquer. »
Phebusa
– Retrouvez aussi l’avis de Regina-Falange ICI –
[poll id= »16″]
Laisser un commentaire