Date de parution : 2012.
Auteure : Eric-Emmanuel Schmitt.
Editeur : Albin Michel.
Pages : 115.
Je suis tombée sur ce livre par hasard sur le stand situé sur la plage et proposant une pause lecture. Je connaissais vaguement quelques écrits d’Eric-Emmanuel Schmitt donc j’ai voulu découvrir ce livre contemporain. J’ai dévoré sa centaine de pages en une heure. C’est le genre de lecture qui fait passer le temps mais dont il ne faut pas non plus attendre grand-chose car le développement de l’intrigue est minime.
Au cours du récit, le narrateur s’intéresse à Madame Ming, mère de dix enfants. Or, on sait que la Chine est le pays de l’enfant unique. Il semble évident qu’elle ne dit pas toute la vérité, comme le souligne le titre même de l’ouvrage. De fait, c’est un ouvrage qui délivre davantage d’émotions que de suspense. Il s’attache notamment à démontrer les pouvoirs de l’imagination…
J’ai apprécié découvrir les morceaux de vie des enfants aux talents particuliers. Tout au long du récit, sont proposés des aphorismes et citations appelant à la sagesse. J’ai apprécié celle-ci : « La vérité m’a toujours fait regretter l’incertitude » qui propose une philosophie de vie intéressante.
Phebusa
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