Date de parution : 16 octobre 2013.
Auteure : Lylian.
Editeur : Editions Glénat.
Pages : 64 pages.
La vie de Camille, adolescente surdouée, bascule quand elle pénètre par accident dans l’univers de Gwendalavir avec son ami Salim. Là, des créatures menaçantes, les Ts’liches, la reconnaissent sous le nom d’Ewilan et tentent de la tuer. Originaire de ce monde, elle est l’héritière d’un don prodigieux, le Dessin, qui peut s’avérer une arme décisive dans la lutte de son peuple pour reconquérir pouvoir, liberté et dignité.
Le scénario respecte bien l’œuvre originale, même s’il y a quelques libertés mineures car ce n’est pas non plus une illustration pure et dure du roman. Donc, comme c’est globalement un « résumé imagé » de La Quête d’Ewilan – Tome 1, je ne vais pas donner ici mes impressions sur l’histoire puisqu’il existe déjà un avis sur le tome 1 par ICI.
Vous remarquerez que la couverture est superbe ! J’adore le travail qui a été fait dessus car on voit en premier plan le paysage de Gwendalavir, puis l’héroïne tenant un mystérieux pendentif – qui a de l’importance puisqu’il se trouve pratiquement au centre de l’image – et enfin la ville en arrière-plan. Il y a vraiment l’idée d’une découverte, d’un passage d’un monde à l’autre.
Les illustrations sont toutes aussi jolies. Je les apprécie car elles ne sont pas trop « fantasy », ce que je reproche souvent aux BD. Les cadres des dessins sont bien travaillés et bien pensés, je pense notamment au moment d’analepses qui relatent l’histoire des parents d’Ewilan. Attention cependant aux déceptions si l’apparence des personnages n’est pas celle que vous vous étiez imaginé (ce qui arrive souvent). Sur ce point-là, je suis plutôt satisfaite dans l’ensemble – les personnages que j’ai préférés étant Camille et Salim – mais je me suis plus attardée sur les paysages qui m’en ont mis plein les yeux ! Si quelqu’un sait comment se rendre à Gwendalavir, je suis preneuse 🙂
Cependant, c’est un gros condensé de la magnifique histoire de P. Bottero. Je vous conseille donc de lire les romans avant, bien évidemment ! La BD permet une relecture légère et une redécouverte grâce aux dessins. Donc, cela tombait bien pour moi qui ai eu un coup de cœur pour le tome 1 mais qui n’aime pas relire un livre.
Phebusa
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