Date de parution : 11 juin 2015.
Auteurs : Andrea Cremer & David Levithan.
Editeur : Michel Lafon.
Pages : 432.
Une malédiction impossible.
Jusqu’au jour où Elizabeth le voit.
Elle seule peut briser le sort.
Au risque de les séparer à jamais.
Dans ce livre, nous découvrons Stephen qui est un jeune garçon invisible depuis qu’il est né, jusqu’au jour où Elizabeth le voit. Vont-ils réussir à rompre la malédiction et à quel prix ? J’ai aimé le thème peu commun de ce livre et les personnages qui sont chacun bien travaillés.
De fait, je ne voudrais pas être à la place de Stephen qui, en tant qu’être invisible, a toujours connu une vie de solitude. J’ai ressenti beaucoup de compassion pour son aventure difficile. Quant au personnage d’Elizabeth, il connaît une évolution plutôt sympathique.
Néanmoins, si la romance entre ces protagonistes est mignonne, elle n’échappe pas au coup de foudre hollywoodien qui peut sembler trop facile. Je pense qu’il faut lire ce roman sans trop en attendre car, tout comme le développement du thème fantastique, il y a des choses peu crédibles. Mais cela ne m’a pas gênée plus que cela !
L’univers construit est intéressant et surtout dangereux. Pour rester vague, il est question de magie, de malédictions et donc d’une sorte de sorciers. D’ailleurs, certains éléments auraient pu être davantage exploités… C’est aussi mon sentiment vis-à-vis de la fin, stressante pour le lecteur et quelque peu surprenante, qui m’a déçue car selon moi, elle n’a pas été au fond des choses. J’aurais voulu que ce soit autrement.
Enfin, je soulignerai l’écriture poétique de ce roman à quatre mains puisqu’Andrea Cremer a écrit les chapitre d’Elizabeth et David Levithan ceux de Stephen. C’est un duo qui fonctionne bien.
Phebusa
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