Date de parution : 2013.
Auteure : Angélique Ferreira.
Editeur : Flammèche.
Pages : 424.
Tout d’abord, je remercie chaleureusement l’auteure de m’avoir proposé ce livre. La jolie couverture attire l’œil sur deux personnages qui vont être les deux héros dont on va suivre les aventures.
S’ils ont des histoires bien différentes, le destin va les réunir. D’un côté, nous avons Nicolas, un professeur de théâtre, et de l’autre côté, Angèle, une jeune femme qui souhaite renoncer à son héritage familial, la sorcellerie. Ce sont tous deux des personnages en exil car Nicolas est aussi en conflit avec sa famille.
C’est avec plaisir que j’ai découvert les points de vue de nos deux protagonistes, mais j’ai particulièrement apprécié le personnage d’Angèle pour son humour… De plus, la relation qu’entretiennent les deux personnages est intéressante car Nicolas n’apparaît pas toujours sous la même forme aux yeux d’Angèle (oui, oui, regardez la couverture !). Ainsi, au fur et à mesure du récit, ils apprennent à se connaître et à refouler leurs préjugés. Mais attention, le côté bestial d’un des personnages pourrait revenir dans certaines scènes…
Néanmoins, je ne cache pas qu’il y a un moment dans le roman où j’ai tourné en rond, c’était un peu répétitif. Heureusement, si l’action n’est pas toujours au rendez-vous, le suspense, lui, est bien là. C’est un point fort de ce roman et c’est sans doute à cause de cela que j’ai lu ce livre en une journée. En plus d’une guerre de clans qui va remuer la vie quotidienne de nos personnages, une série de meurtres fait ravage. Et ils sont en danger, eux aussi ! Il y a là une dimension mythologique très prenante, notamment un lexique à la fin du livre.
Enfin, j’ai aimé certains événements magiques qui m’ont fait vaguement penser à ceux de la saga Harry Potter. Cependant, s’il y avait un petit bémol à souligner, ce serait au niveau de l’écriture : à certains moments – et surtout au début le temps de m’y habituer – je n’ai pas toujours compris quel personnage parlait car il n’y a pas vraiment de chapitres qui permettent de les distinguer. Malgré ce côté un peu brouillon, la fin est haute en couleur… A quand la suite ?!
Phebusa
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