Auteur : Alex Flinn.
Editeur : Hachette Black Moon.
Date de parution : Juin 2012.
Pages : 352.
Quatrième de couverture :
Je suis un monstre. Pourtant, autrefois, j’étais le type parfait : grand, beau, riche et… atrocement méchant. Je n’aimais que moi et c’est pour cela qu’un sort m’a été jeté. Je suis devenu une bête difforme, velue, monstrueuse. Il me reste deux ans pour être aimé d’une jeune fille, sinon… Ceci n’est pas un conte de fée. Mon histoire prend place aujourd’hui, en plein coeur de New York. J’espère que quelqu’un va venir à mon secours.
Ce pauvre Kyle restera poilu toute sa vie s’il ne trouve pas le vrai amour qui l’accepte tel qu’il est. Et Alex Flinn ne doit pas aimer la chirurgie esthétique, car son pauvre personnage ne s’en sortira pas par cette voie, même s’il a un père riche ! Bonjour monde des apparences et préjugés… En bref, une bonne leçon de vie.
La structure du livre est très appréciable : il y a différents noms pour les parties qui rappellent le conte pour enfants (notamment le dernier, pour ceux qui l’ont lu). La lecture est fluide (beaucoup de dialogues comme je l’ai dit tout à l’heure). Des objets mystérieux et magiques, notamment un miroir aux pouvoirs surprenants… Et j’ai aussi apprécié la place consacrée à la littérature dans le livre !
Par contre, je suis toujours pas très fans des « tchats » intégrés entre chaque partie. Bien que ça serve de transition et que ça donne un ton moderne au récit, je ne les trouve pas nécessaires, et parfois peu compréhensibles. Je crois que certaines d’entre vous les ont aimé. Bon et ben, j’ai envie de dire ça passe ou ça casse ! Globalement, quand on connaît le conte, on n’est pas beaucoup surpris, mais cela reste un beau récit de magie.
Phebusa
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